Tome 3 (titre provisoire)

Bonjour bonjour ! Je suis nouvelle sur le forum (sans blague ^^) et après avoir lu beaucoup de anfiction, je vais poster la mienne. Je ne suis pas écrivain mais j'aime beaucoup écrire. Toutes remarques constructives sont les bienvenues. J'ecris assezlentement donc ne vous étonnez pas si les suites trdent à arriver. Le chapitre 1 commence avec le point de vue de Murtagh. Bonne lecture :

Chapitre 1 :

Souffrance, son nom, celui de son épée. Tout dans sa vie n’avait jamais apporté que malheur. Depuis ses trois ans, sa mère était partie pour ne plus revenir et son père, ivre de désespoir avait jeté Zar’roc sur lui. Il avait prêté allégeance au roi, son ennemi juré, et le jour où il s’était découvert un ami, et un frère par la même occasion, il l’avait trahi. Mais aujourd’hui, alors qu’il ne voulait plus de la vie un nouvel espoir apparaissait : son dragon, Thorn. Il se sentait pouvoir tuer n’importe qui, torturé n’importe qui rien que pour sauver son ami ailé, sa moitié. Les serments qui le retenaient au roi étaient trop forts pour les contrer une seconde fois. C’est sur ces sombres pensées que Murtagh arriva au château, sans son frère. Il savait que la correction qu’il allait recevoir serait à la hauteur de la colère de son maître. Thorn atterrit au centre du château où une grande cour avait été aménagée pour les dragons. Dès qu’il posa un pied-à-terre, une servante accourut vers lui et lui dit que le roi l’attendait au sous-sol. Murtagh regarda la femme, elle avait de longs cheveux noirs attachés en tresse dans son dos. Elle avait des traites fins et des yeux en amande verts. Elle avait peur. Peur de ce que le dragonnier était, peur de ce qu'il pourrait lui faire. Il continua la regarder. Soudain il croisa le regard de la jeune femme, ces yeux verts avaient maintenant des petits éclats dorés. Il détacha son regard du sien et la remercia pour l'information. Le « sous-sol » était en fait les cachots et les salles de tortures réservés aux espions, Vardens et aux traîtres. Murtagh ne prit pas le temps de soigner ses blessures dues au combat contre Eragon. Cela gâcherait inutilement ses forces et de ses forces il en aurait besoin ! Sans perdre un instant, il descendit au sous-sol. Le roi l’attendait dans le cachot numéro sept : son préféré. C’est là qu’étaient entreposées les réserves royales d’huile de Seithr. Murtagh s’inclina.
« - Relève-toi Murtagh ! Où est ton frère ?
-Il était trop puissant pour moi, il m’a échappé.
-C’est faux, je sais pertinemment que tu mens. Je vois que mes serments ne sont pas assez puissants. Très bien, tu vas me promettre de ne plus laisser Eragon en liberté. Que tu le tortureras et le tueras s’il résiste.
-Non ! Je refuse ! »
Le roi avait prévu cette réaction chez le dragonnier. Il se saisit du fouet qui se trouvait dans la pièce, déchira la chemise de son sujet et commença à le battre. Murtagh se mordit la lèvre pour se retenir de hurler face à la violence du coup de fouet sur sa cicatrice. Deux coups, trois coups, quatre coups. Le sang coulait à présent de sa lèvre et de son dos mais il refusait d’exprimer sa souffrance devant le tyran et de lui prêter serment. En plus de la douleur des coups de fouet sur sa peau nue, il sentait maintenant celle de son dragon que Shruikan était en train de malmener. Le roi était de plus en plus furieux. Il criait à présent :
« -Prête serment ! Tue ton frère ! »
Murtagh ne réagissait toujours pas. Les coups de fouet lui avaient laissé de longs et fins sillons sur son dos. Le roi s’éloigna quelques secondes pour revenir avec un petit flacon dans sa main. Murtagh savait ce que c’était. Le roi avait déjà utilisé l’huile de Seithr sur lui. Le tyran s’approcha de son dos et mit quelques gouttes sur une de ses cicatrices à peine sèches puis il referma le tout par magie. En dehors du château, un hurlement effroyable se fit entendre. Murtagh agonisait à petit feu. Son dragon ressentant tout le mal de son bonhomme par le biais de leur lien mental émit un long rugissement rauque. La douleur se fit de plus en plus forte balayant tous les autres sentiments sur son passage. À bout de force le jeune dragonnier tomba dans l’inconscience.

Voilà, je m'excuse d'avance pour les fautes qui m'auraient échapées. Les pochains chapitres seront plus long ^^.

alors alors
primo c'est un peu court pour juger le fond (en traduction j'aimerais une suite).
ensuite pas beaucoup de fautes, je n'en ai vu que deux ou trois, c'est bien.

après, les tortures au fouet et à l'huile de Seithr c'est déjà vu et revu et crois moi il y a des moyens bien pire pour torturer quelqu'un : le fouet n'induit qu'une souffrance physique mais n'attaque pas la dignité d'autrui. Au contraire si tu fais subir à qq1 ce que les Ra'zacs ont fait subir à Katrina dans ma fic, où que tu lui fais subir un ou des viols tu attaques sa dignité, sa personnalité, tu es peut-etre un peu jeune pour réaliser cela (et ce n'est pas grave, ne voit aucune critique négative ici). L'isolement complet est aussi un fort moyen de torture, imagines toi plusieurs jours de suite ds le noir, privé d'attache sensorielles (c'est p'tet pas tres francais ma phrase) : ouie, vue, odorat, gout, toucher via le mouvement, et en plus obligée de faire tes besoins sur toi, sans pouvoir te laver. là ce n'est plus le physique de la personne que tu attaques mais son psychisme et les états tyran le savait et s'en servait pour retourner les espions, les transformer en marionnette.
ensuite je trouve dommage que tu n'exploites pas plus les sentiments de Murtagh : quelles sont ses pensées au moment où il est frappé, qu'est ce qui lui donne la force d'endurer la souffrance physique..., pareil pourThorn qui lutte contre Shruikan, quellle image il envoie à son dragonnier pour ne pas qu'il cede malgré leurs douleurs, quelle est la force de leur lien à ce moment là, leur personnalité sont-elles distinctes ou au contraire imbriquée l'une dans l'autre pour avoir peut-etre plus de forces.
voilà, pour finir j'aurai aimé une description du Roi, l'expression de son visage notamment.

en esperant ne pas avoir été trop sévère et avoir pu t'aider.
continues, c'est en écrivant qu'on fait des progrès et ce qui comptes c'est d'y prendre du plaisir.
vivement la suite qu'apparaisse ta marque de fabrqiue.
biz

Comme je l'ai dit au début, toutes les critiques sont les bienvenues. Après avoir lu ton message et en relisant ce chapitre je me suis rendu compte que c'était plat, un manque de description certain, les émotions pas assez développées, etc.. Pour la torture, c'est vrai que j'ai un peu choisi la solution de facilité ^^. Mais je serais incapable d'écrire quelque chose dans le même style que toi pendant l'emprisonnement de Katrina tout simplement parce que je ne sais pas encore comment exploiter les sentiments des personnages. J'ai essayé mais à chaque fois je me rendais à l'évidence, au lieu de provoquer un sentiment chez le lecteur je ne faisais que quelque chose de ridicule, à peine lisible. Je pense recommencer le chapitre suivant, bien plus long, en essayant de mettre en application tes conseils. Merci d'avoir lu le début

Je trouve que c'est très bien, mieux que ma fic en tout cas.Prends ton temps pour le chapitre 2. Je suis sur qu'il sera encore mieux. Même si les sentiment ne sont pas assez devellopés (ce qui et aussi mon cas), on imagineassez bien la scène. Bon courage.
Ardor

ardor ne crache pas sur ta fic!!!! elle m'a donné envie de connaitre la suite et c'est tres important.
ensuite Iliana, je ne suis pas une pro ni un exemple.
quelque chose de ridicule et d'à peine lisible?? pas surs, et de toute façon c'est en faisant qu'on progresse!!!!
si tu as besoin d'un coup de main tu as mon mail!
biz