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 Eragon, Arya, Nyarèl et Taergad. Suite du Cycle de L'héritage.

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Laya

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MessageSujet: Eragon, Arya, Nyarèl et Taergad. Suite du Cycle de L'héritage.   Eragon, Arya, Nyarèl et Taergad. Suite du Cycle de L'héritage. Icon_minitimeMer 19 Jan - 20:05

Chapitre 1: Remonter la pente.



Sur la colline face à la mer, au alentour de Feinster, se trouvait un Eragon agar, assit le dos appuyé sur le poitrail de Saphira, la tête de celle-ci posée devant ses jambes repliée contre sa poitrine, son grand œil saphir le regardant tandis qu'elle analysait le flot d'émotion de son petit homme.

Cela faisait une semaine qu'ils étaient arrivés à Feinster. Une semaine qu'Oromis et Gleadr étaient mort. Depuis se jour Eragon ne parvenait plus a trouver le repos de son esprit et de son corps. Pas même lorsqu'il rentrait dans la transe remplacent son sommeil. Ses rêves étaient hanté par des visions d'épée transpercent Oromis ou du cri effroyable poussé par Gleadr au moment de la mort de son compagnon. Il se voyait, lui et Saphira, subir le même sort.

Il savait aussi que sa dragonne et Arya s'inquiétaient énormément pour lui. Il avait perdu l'appétit et ne mangeais que le stricte nécessaire et buvais trop d'hydromel et autre boisson forte pour oublier. Ses yeux étaient rougit et cerné par de longue heure a sangloté et pleurer la perte de ses deux maîtres. Son teint était blafard. Sa barbe avait poussé lui donnant un air encore plus sinistre. Nasuada lui avait ordonné de faire une pause et de remettre son esprit en ordre, mais lui, n'y arrivait pas. Il avait beau tous faire pour se vider l'esprit et se détendre, il ne parvenait à rien d'autre qu'à encore s'attrister sur son sort.

Ce jour là après une heure de cet exercice de méditation, il décida de retourner vers la cité. Tout autour des murs, brûlaient encore des buchés avec les morts de la ville et ceux des varden. Tout en marchant, Saphira à ses côté, il méditait sur le meilleur moyen de venger ses deux défunt maîtres. Il devait vaincre Galbatorix qui s'était servis de son maudit frère renégat, Murtagh, et de son dragon rouge, Thorn. Mais comment le vaincre s'il reste enfermé dans sa forteresse et utilise encore leur deux rivaux.

Lentement, il se rendit compte que Saphira essayais d'atteindre son esprit qu'il avait si bien protégé et couper du sien. Il s'ouvrit à elle pour y rechercher du réconfort et découvrit qu'elle pleurait encore la disparition du dernier dragon male libre. Mettent ses propre soucis de côté, il s'ouvrit complètement à sa moitié.

« Oh! Saphira, ma belle! » Dit-il tout en s'arrêtant et en se retournent vers elle.

« Tu devrais pas te laisser aller dans un état pareille! » la sermonna-t-il

« Et toi tu ne devrais pas tenir de pareil propos alors que tu es dans le même état que moi! » répliqua-t-elle sèchement en lui renvoyant des souvenir de lui complètement abattu soit par le fais que leurs deux maître étaient tombé au combat, soit pour les réactions d'Arya face a ses sentiments.

« Ok, ok.Capitula-t-il. Nous sommes dans le même état, je ne devrais donc rien dire, mais il serait temps que tu te reprennes... Tout comme moi. ajouta-t-il »

La belle dragonne ne répondit pas, mais Eragon sentait dans son esprit qu'elle essayait de calmer ses émotions et de se reprendre et il fît de même.

Quant ils se remirent en route, il se rendit compte que sont esprit était plus serein et qu'il s'inquiétait pour sa grande demoiselle bleue.

Arrivé à la cité, il alla rejoindre la tente, sur la place, qu'il occupait avec Roran. La plupart des vardens dormaient dans les chambres de différentes maisons. Seul Nassuada, ses garde, les elfes qui l'accompagnait et Roran dormait comme lui dans les tentes. La première n'ayant pas confiance en les habitants et ne pouvant demander à ces Faucon de la nuit de monter la garde dans une maison. Les elfes et Roran eux avait décidé de rester avec Eragon pour le protéger et l'aider en cas d'ennuis. A côté de la tente d'Eragon, avait été ménagé un grand espace libre où Saphira pouvait se coucher et se reposer tous en ayant sa tête dans l'entrée de la tente.

Ce soir la au moment où il allait sombrer dans sa transe habituelle, une ombre se faufila dans sa tente. Il se redressa net et voulut attraper Brisingr dessous son lit, mais quand il finit par toucher son épée, l'ombre lui saisit le bras et l'obligea à se redresse. Le contacte avec elle lui fut très familier et, d’un mot, il alluma la bougie qui se trouvait près de son lit. Le jeune homme fut surprit de découvrir Arya, la mine grave et qu’une profonde tristesse emplissait ses yeux de larme, telle des perles de diamant brillant dans ses émeraude et ruisselant sur ses joue. C'était la première fois qu'il la voyait dans un tel état. Doucement, il se mit debout devant elle, oubliant qu'il n'était qu'en calçons, et la pris dans ses bras, l'attirant calmement contre lui. Elle ne lui résista pas et se pressa contre le jeune corps musclé du jeune homme, logent sa tête sur son épaule et pleurant tout son saoul, trouvant un certain réconfort à laisser aller ses émotions.

Lorsqu'il la sentit enfin se détendre dans ses bras, il la relâcha et lui proposa gentiment de s'assoir avec lui quelque minute. N'ayant aucun autre meuble dans sa tente qu'une malle déjà encombrée et les deux lit, celui de Roran étant déjà occupé, ils s'assirent tout deux sur le sien.

Eragon murmura quelque mots dans la lange elfique pour faire en sorte que Roran ou quiconque ne puisse entende leur conversation.

- « C’est la première fois que je te vois dans un état pareil, Arya Svit-Kona. » Dit Eragon en ancien langage, oubliant toutes formes de salutation.

-« J’ai beaucoup de mal a supporter le fait qu’ils soient mort. Ils ont été pour moi comme des pères, ils m’ont appris à métriser la magie, à gagner et à entretenir ma force et mon agilité. Ces chez eux que je me réfugiais lorsque je me suis sentie mal après la mort de mon père. » Elle respira à fond et poussa un long soupir tremblent de sanglot. « Je n’arrive pas à croire qu’ils aient disparus ! » Et pour la première fois depuis longtemps, elle pleura réellement la perte d’un être cher à son cœur.

Eragon était ébahi, une fois seulement elle s’était confiée intimement a lui. Mais ici il sentait qu’elle avait besoin de vider son cœur du trop plein d’émotion et de choc subit depuis le début de cette grande guerre de se soulager les pensée en parlant avec quelqu’un qui vivait le même drame. Et il sentait que lui aussi en avait besoin et il savait aussi qu’elle le comprenait et le comprendrait dans ses choix.

Il se passa longtemps avant que l’un deux ne reparle et Eragon, plongé dans ses pensée ne ressenti pas les larmes couler de ses yeux jusque dans sa barbe. Puis il se décida à la regarder droit dans les yeux et à libérer enfin ce qui lui restait sur le cœur.

-« Lorsque j’ai vu Zar’roc transpercer Oromis et Thorn tué Gleadr en lui brisant la nuque, j’ai crut que j’allais mourir avec eux. J’ai eu envie de hurler, de pleurer, de mourir avec eux, de disparaître de se monde cruel. Ils étaient les plus vieux et les plus forts même sans la magie. Ils connaissaient tout des dragons et de leur dragonnier. J’avais encore trop à leur demander. Mais par-dessus tout ils étaient, avec moi et Saphira, le dernier couple de dragon-dragonnier libre sur cette terre. » Il se tu un instant et puis repris en murmurent et avec un soupir lasse. « Si j’avais su tous ce qui se serai passé depuis l’éclosion de Saphira a maintenant, je pense que je me serais enfui avec elle et serait allé chercher refuge hors de toutes ces guerres. »

-« Regretterais-tu de venir en aide aux peuples de ta terre natale ? » Lui demanda Arya perplexe de cette déclaration.

-« Veux tu que je te réponde franchement, Arya ? » Lui répliqua-t-il en observent sa réaction.

L’elfe devint nerveuse et évita son regard cherchent quelque chose sur lequel se concentrer pour reprendre contenance. Elle remarqua alors que Saphira les regardais a travers l’entrée de la tente et se douta qu’elle suivait toutes la discussion a travers son dragonnier. Finalement en regardent le grand œil saphir qui la fixait, elle se rendit compte que tous comme Eragon, Saphira était toucher par la mort de leurs deux maitres et lasse de faire la guerre.

-« Oui ! » répondit elle en se tournant vers le jeune homme d’un air décidé. « Mais je veux que se soit une réponse réfléchie et discutée entre toi et Saphira.

Eragon tourna son regard vers la belle dragonne et l’interrogea mentalement sur ce qu’elle ressentait vis-à-vis de ses engagements.

« Je ne sais plus quoi pensé en se moment. Oui je regrette que nous nous soyons mis dans la guerre et en même temps je ne regrette rien. Si on ne c’étaient pas engagé, je n’aurai jamais rencontré Glaedr, je n’aurais jamais appris le savoir des dragons ! Et toi tu n’aurais jamais rencontré Arya, ni ton frère, et tu n’aurais jamais sus qui était ton vrai père. Trop de chose nous sont arrivé pour notre bien pour que je regrette totalement nos décisions. Mais nous avons subit trop de chose nuisible pour ne pas regrette ne fusse qu’une partie. » Lui répondit elle calmement en pesant bien ses mots.

« Tu as entièrement raison, mais je n’arrive pas accepter tout ce qui nous est arrivé. » lui avoua-t-il avec un grain de nostalgie du passé paisible qu’il avait eu durent son enfance.

Il se tourna ensuite vers Arya, qui s’était appuyé contre la toile de la tente derrière le lit de fortune, et lui reporta le gros de leur conversation.

-«je me doutais bien que des regrets naissaient en toi. Cela fait plusieurs jour que ton regard ne brille plus comme avant, tu n’es plus attentif a rien. Tu ne fais aucun effort pour cacher ton malaise et ta colère contre les peuples qui se batte pour la liberté. » Lui annonça-t-elle

-« je n’ai jamais été en colère contre qui que ce soit dans le camp des rebelles et ca ne changera pas maintenant ! » Ce défendit-il.

-« hé bien tu as pourtant déjà commencé en me rejetant plusieurs fois quand je voulais te parler. »

-« Je ne t’ai jama… » Commença-t-il. D’un coup il se rappela l’avoir vue quatre ou cinq fois durant la semaine tenter de s’approcher de lui, mais il s’était toujours éclipser, ne voulant pas discuter. « Je te demande pardon, je ne me suis pas rendu compte de mes gestes envers toi. Je pensais que tu voulais me faire parler ou me faire des remontrances sur un certain laisser aller dont je suis victime. »

-« j’accepte tes excuses, cher dragonnier libre. » Et elle le salua à la manière des elfes.

Soudain Eragon eu un pressentiment que quelque chose ne tournait pas rond chez Arya, ses yeux d’habitude d’un vert si vif était légèrement terni et voiler de tristesse, et son tien avait viré au gris crayeux.

-« Ary… »

A peine avait il commencer son nom qu’elle s’effondra sur le sol. Il eut juste le temps de tendre les bras en se levant pour la rattraper. Il la sentit à bout de force et elle le regardait avec des yeux emprunt d’une grande tristesse.

-« Depuis quand n’as-tu pas pris un bon repas et une bonne nuit de sommeil ? » La questionna-t-il inquiète pour son état de santé.

-« Deux trois jours je pense, mais ca va passer. » Tenta-t-elle de le convaincre.

-« Non, tu reste la. Je vais te chercher à manger et tu vas me faire le plaisir de dormir cette nuit. » Ordonna-t-il.

« Saphira, surveille-la ! Qu’elle n’essaye pas de partir ! »

Et sur ses pensée, il parti d’un pas rapide chercher à manger dans la maison transformée en point de ravitaillement. Arriver sur place, il prit deux pomme bien rouge, quelque feuille de laitue, deux morceaux de viande bien ferme qu’il enroula dans un linge propre, une gourde d’eau et une d’hydromel. Cette course finie, il retourna à sa tente où il trouva Arya assise sur son lit le teint encore plus pâle qu’avant. Il déposa le petit paquet a coté d’elle et déballa les deux morceaux de viande.

-« je sais que tu ne veux pas en manger, mais si tu veux récupérer très vite des forces tu devras faire une exception à ta règle. » Lui annonça-t-il en lui tendant une des deux pièces de viande qu’elle regarda d’un air inconsidéré. Mais qu’elle finit par bien vouloir prendre.

-« ok ». Répondit-elle dans un murmure en cèdent a la détermination du jeune homme. « Mais je ne le mange pas crut. »

Il reprit le morceau et le fit chauffer avec sa magie avant de le rendre à l’elfe. Celle-ci le repris en mains et le regarda un long moment avant de l’approcher lentement de sa bouche et de mordre un petit coup dedans. Elle eu un choc face au gout de ce simple bout. Un mélange de saveur esquisse. Fort et tendre en même temps, légèrement fibreux et juste épicer comme il faut. Elle en reprit encore une bouchée et la trouva encore plus délicieuse que la précédente, elle mordit comme ca plusieurs fois dans la pièce avant de se rendre compte qu’Eragon la regardait en souriant, amusé par la réaction de l’elfe. Elle se reprit légèrement et se força à manger avec un peu moins d’entrain mais elle savait que le dragonnier avait comprit.

-« C’est la première fois n’est ce pas ? » lui demanda-t-il.

Pour toute réponse elle hocha timidement de la tête et continua de manger les dernières bouchées. Une fois sa viande terminée elle prit quelque feuilles de laitue et une des deux pommes et les mangea mais les trouva bien fade d’un coup comparé a la saveur du bon steak qu’elle venait de manger.

Pendant ce temps, Eragon avait mangé ce qu’il restait de fruit et légume et alla donner la dernière pièce de viande à Saphira qui s’en délecta, même si ce n’était pas grand chose. Quand il revint a l’intérieure de la tente, il trouva Arya endormie de travers sur son lit. Il la contempla pendant quelques minutes. Elle était si belle, même malade de chagrin, qu’il en eu un pincement au cœur en se souvenant qu’elle l’avait repoussé quelque mois plutôt. Elle lui était si chère, et il était content d’avoir sauvé leur amitié. Il alla l’allonger comme il faut et la couvrit d’une de ses couvertures. Ensuite, il en prit une pour lui et alla se coucher dehors contre le flanc chaud de sa dragonne qui le couvrit d’une grande aille protectrice. Il eu moins de mal que d’habitude à tomber dans sa transe et ne fut le moins du monde perturber par des cauchemars. C’est étrange comme parler peu aider.


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Eragon, Arya, Nyarèl et Taergad. Suite du Cycle de L'héritage. Empty
MessageSujet: Re: Eragon, Arya, Nyarèl et Taergad. Suite du Cycle de L'héritage.   Eragon, Arya, Nyarèl et Taergad. Suite du Cycle de L'héritage. Icon_minitimeMer 19 Jan - 20:09

Chapitre 2 : La découverte d’un don.

« La clairière était remplie de tente couleur gris-beige un peu sale, sauf une, qui était rouge sang. Cette clairière se trouvait non loin d’une ville où s’élevait des bruit de combat »

Trou noir et une nouvelle vision.

« Les tentes se trouvaient maintenant sur la place d’une ville. Il y avait un grand dragon couleur saphir et un jeune homme, s’semblable a un elfe, l’air abattu qui déambulait parmi elle »

Trou noir et une autre vision.

« C’était une grande salle, comme une salle se trône. C’était peut-être une salle de trône dans un château. Il y avait une grande ombre devant un feu d’une taille incroyable. Devant se trouvait un jeune homme, humain au complet cette fois ; agenouiller, tête basse. Il portait une tunique d’un brun très foncé et un pantalon de cuir tanné noir. A son flanc pendait un fourreau vide et dans son dos se trouvait un carquois tout aussi vide. On entendait sa respiration rauque, comme s’il souffrait intérieurement.
Il prit finalement, au bout de trois minutes de silence, une grande inspiration et dit les simples mots:

-je vous écoute, maître.

L’ombre se retourna vers lui, avec des yeux noirs de haine. On ne voyait rien de lui appart ses yeux flamboyant, on entendait de lui qu’un rire sordide. Plusieurs fois le bruit de sa bouche s’ouvrant et se fermant se fit entendre, sans jamais laisser échapper de sons. Comme s’il n’arrivait pas à se décider à parler. Finalement il grogna et dit… »


-NYAREL ! NYAREL QUE FAIS-TU ? TU DOIS ALLER SOIGNER LES POULES ET LES VACHES.

Nyarèl ouvrit les yeux et regarda autour d’elle. Elle était dans sa chambre. Une pièce simple, petite et peu meublée. Juste un lit, une petite table basse avec une chandelle dessus et une bassine avec un peu d’eau dedans pour se laver. Sa chambre dans une maison du village de Hertison.

C’était sa chambre, mais elle eu un choc en la voyant et pensa « quel contraste avec cette grande salle de trône ». Elle se souvenait nettement de la pièce qu’elle avait vue en rêve. Elle prit un morceau de parchemin, une plume et de l’ancre et ferma les yeux. Elle revoyait la salle : grande, avec une table remplie de papier. A l’arrière de cette pièce, il y avait quatre ou cinq marche pour arriver à une estrade où se tenait le trône, en forme de dragon et derrière cet immense feu. Les murs de la salle étaient tous tapisser de tapisserie et une d’entre elle représentait la carte d’une terre qui lui était inconnue. Au fur et à mesure qu’elle revoyait la description du lieu, sa main, guidée par ses souvenir, dessinait avec précision chaque détaille.

Quand elle ouvrit les yeux et regarda la feuille, elle revoyait exactement la salle telle qu’elle l’avait vue. Alors qu’elle la regardait elle se mit à réfléchir. Pourquoi avait-elle rêvé de cette salle. Qui était ce jeune homme soumis et cet être machiavélique ?

-NYAREL ! BON SANG ! TU SORS DE TROU ! La rappela à l’ordre la voix grave d’un homme en colère.

Elle sorti brusquement de ses pensées et rangea vite fait son dessein avec plusieurs autre feuille remplie de croquis similaire, mais de lieu différent. Tous étaient d’une incroyable netteté.

Lorsqu’elle sorti de sa chambre, elle eu le pressentiment qu’elle ne la reverrait plus. Que quelque chose de spéciale allait arriver. Quelque chose d’excitant, mais aussi d’inquiètent.

Nyarèl était une jeune fille d’une quinzaine d’année, personne ne savait exactement car c’était une enfant trouvée sur le bord d’un chemin, sensible a se qui l’entourait. Elle pouvait sentir la présence d’autre personne autour d’elle dans un rayon de dix mètre. Ses yeux étaient en amande et d’une couleur étrangement d’orée. Cette couleur partait en dégradé autour de sa pupille. Le bord extérieure était presque cuivré et s’en allait vers l’intérieur en se dérivant vers l’orange doré et pour arriver à la pupille dans une couleur jaune orange. Elle était de petite taille et malgré tous avait des cheveux couleur argent d’une longueur démesurée. Elle les attachait toujours en une belle tresse souple qui lui descendait jusqu’en dessous de ses cuisses. Son corps était svelte et peu musclé. Sa peau blanche ne brunissait jamais. Elle portait toujours des tuniques légères avec un pantalon de cuir sous une robe pour se sentir à l’aise avec les traditions humaines. Ses oreille était légèrement pointue et personne ne savait dire pourquoi.

Elle descendit rapidement les quelque marches qui s’éparait le couloire des chambre de la cuisine, pris une petite miche de pain et s’en alla, en sautillant, soigné les poulets et les vaches du village. Il était de principe, que, pour soigné les bêtes du troupeau du village, toute les familles s’y mettent. Et c’est ainsi que chaque semaine s’est une personne différente de chaque maison qui va nourrir et abreuver les bêtes.

Sur le chemin de l’enclos, Nyarèl rencontra Taergad qui, comme elle, devait y aller pour nourrir le bétail.

Taergad était un jeune homme d’environ dix-huit printemps, il avait des cheveux d’un blond presque doré, des yeux ressemblant à des topaze azurs et brillant toujours de curiosité et d’humour. Il mesurait près du mètre quatre-vingt. Son visage était assez carré, son corps massif et possédait une musculature impressionnante. Son père était débardeur et il l’aidait souvent dans les forêts. Sa mère par contre faisait une fois par semaine un repas pour tous le village. Elle était une excellente cuisinière.

Lui n’avait aucune spécialité jusqu’à présent. Il se débrouillait très bien avec un arc ou une épée. Il avait d’ailleurs protégé leur village d’une invasion d’être assez étrange. Ils étaient grands, robuste et large comme une armoire. Leurs peaux étaient grisâtres et des yeux jaunes, porcins, ressortaient sur leur visage. Des muscles impressionnants roulaient sous la peau de leurs bras et de leurs poitrails en partie recouvert d’un plastron. Une paire de cornes dépassait de leurs casques en fer. Ils portaient des boucliers ronds, attaché à leurs avant-bras. Et ils avaient pour armes, de petites épées courtent et dangereuses, des lances avec une pointe acérée et des aches a double tranchant. Plusieurs anciens du village pensaient qu’une malédiction les frappait. Mais malgré les apparences monstrueuses de ces êtres, ils avaient réussi à les repousser hors de leur terre. Ils les avaient vu roder plusieurs fois encore autour de leur enceinte mais n’avaient plus eu à les combattre fort heureusement.

Les deux jeunes gens marchaient tranquillement sur le chemin en bavardant. Taergad était la seul personne à savoir qu’elle faisait des rêves étranges. Comme si elle voyait d’autre lieu où se trouvait un destin précaire. Elle lui raconta donc ses visions de cette salle du trône d’un château venu d’ailleurs.

-« tu devrais aller voir Lenaig et lui en parler » dit-il tandis qu’il sortait de l’enceinte du village pour se rendre aux enclos. « Elle saura peut-être te dire se que veulent dire ces rêves. »

Lenaig était la matriarche du village et une sorcière extrêmement douée. Elle avait aidé bon nombre de famille à supporter la disparition d’un proche ou même à donner naissance.

-« ce serait une solution, mais… » Elle fut interrompue par un hurlement venant du village.

Ils se retournaient et découvrirent que les habitants de Hertison étaient de nouveau attaqués par une bande de ces créatures monstrueuses. Ils avaient réussi à faire tomber une des palissades. Taergad se mit à courir vers les attaquants dégainant son arme. Et alors qu’il s’apprêtait à se lancer dans la mêlée Lenaig se mit en travers de sa route.

-« Protège-la ! Ils ne doivent pas la trouvée ! Il ne doit pas se servir d’elle pour combattre. » Murmura-t-elle a son oreille d’une voix rauque « Emmène la chez Zamir, il saura vous expliquer, il saura vous protéger… » Une lance la transperça et il la vit pâlir

-« Lenaig ! » murmura-t-il. « Où est Zamir ? Où habite-t-il ? Qui veut trouver qui ? »

-« Nyarèl, il veut s’emparer de Nyarèl »

-« Pourquoi ? Qui ? » Demanda-t-il de plus en plus impatient

-« Prend Gids, il saura te montrer le chemin vers Zamir et emmène aussi Luie Groene. Elle saura vous être utile. » Dit-elle dans un dernier soupir. « Promet moi que tu l’aidera dans sa tâche à venir. Promet moi que tu veilleras sur elle. » Le supplia-t-elle.

-« Je te le promet »

-« Alors suit le chemin vert les montagne, a environ trois miles de la tu trouveras une grotte. Si tu te perds remet toi s’en a Gids. Il sait où aller. » Elle toussa en crachant un peu de sang. « Part maintenant. Fuyez et aidez à faire régner la paix sur tous les peuple » parvint-elle à articuler avant de succomber dans ses bras.

Pendant tous ce temps la bataille avait continué. Beaucoup de villageois étaient mort en tentant de s’enfuir. Taergad après une infime hésitation ferma les yeux de la vieille matriarche et rebroussa chemin, cherchant Nyarèl des yeux. Il la retrouva pétrifiée devant le spectacle qui s’offrait à ses yeux. Il l’attrapa par le poignet et l’obligea à lui faire face.

-« Il faut partir. » Lui ordonna-t-il

-« NON ! Le village se fait attaquer, on ne peut pas partir ! Ces pauvre gens sont notre famille ! Il faut les aider ! »

Il la força à le regarder droit dans les yeux.

-« Ecoute moi, Lenaig veut que nous partions, que nous sauvions nos vie. Elle savait quelque chose sur toi que nous ignorons. Je lui ai promis de te protéger. Nous devons partir. Sinon elle sera morte pour rien, tous le village sera mort pour rien. Nous devons profiter que ces monstres sont occupés ici pour partir. » Il la regarda et vit a quel point elle était effrayer et ne semblait pas comprendre ce qu’il disait. « Tu m’entend ? Nous devons partir ! »

Au lieu de lui répondre, elle parvint à se dégager de ses mains et à s’enfuir vers la maison où elle avait vécu ses quinze dernières années. Elle rentra dedans sans ce soucié de la bataille qui faisait rage autour d’elle. Elle alla directement dans sa chambre et retira la petite robe qu’elle portait pour ne garder sur elle que sa tunique et son pantalon. Elle attrapa ses dessins qu’elle fourra dans un sac de toile avec quelque une de ses affaires, prit le petit arc que lui avait un jour offert son père pour qu’elle apprenne à chasser et à se défendre avec. Elle ne savait pas bien le manier, mais se serait toujours un moyen de se défendre. Elle le mit dans son carquois avec ses flèches et ressortit de sa chambre pour se retrouver face à un de ces monstres qui tenait la tête de sa mère par les cheveux. Du sang coulait de la gorge tranchée et s’étalait sur le sol. Elle resta la un moment figée à le regarder en réfléchissant à toute vitesse. Il lui bloquait la sortie par la façade. Derrière elle se trouvait les escaliers avec le couloir des chambres. A sa droite, il y avait un mur et a sa gauche, la table de cuisine et plus loin la porte qui menait à l’atelier de son père. Là elle pouvait trouver une arme quelconque pour se défendre. Mais au moindre mouvement qu’elle ferait elle était sur qu’il se jetterait sur elle pour la tuer. Ils se fixaient droit dans les yeux. Cherchant à savoir se que l’autre ferait. D’un bon elle prit la décision de tenter la solution de l’atelier. Elle sauta par-dessus la table et couru le plus vite possible jusque dans la pièce adjacente où elle trouva une petite épée sur laquelle son père travaillait. Elle s’en empara et se retourna juste attend pour contré un coup de lame de son adversaire. Malgré sa robustesse, il était rapide et vif. Elle parvint à éviter plusieurs de se coup, a en contrer d’autre, mais ne faisait que se défendre. Elle ne savait pas manier l’épée. Au fur et à mesure que le combat avançait, elle reculait. Elle se retrouva bien vite coincée dans un coin de la pièce sans pouvoir se retirer ou s’enfuir. Et c’est quand elle le vit lever haut son épée pour l’abattre sur sa tête qu’elle en vit une autre le transpercer de par en par. Il s’effondra à genoux devant elle et elle en profita pour se sauver sans regarder qui l’avait sauvé. Elle allait sortir, quand elle sentit deux bras puissant l’attraper et la forcer à se retourner. Elle voulut hurler mais ne parvint qu’à produire un son étouffer par les mains de son assaillant. Quand elle vit que c’était Taergad elle s’effondra en pleure dans ses bras.

-« il faut partir maintenant. On va passer par les chambres. » Lui murmura-t-il

Elle ne réagit pas et se laissa emmener quand il la poussa vers la porte et qu’il la poussa vers les escaliers. Lorsqu’ils arrivèrent dans le couloir Taergad ouvrit une a une les porte pour voir où donnaient les fenêtres et il la fit entrer lorsqu’il vit la fenêtre qui donnait sur un arbre. Il l’aida à passer du rebord à la branche et enjamba à son tour la fenêtre et le vide. Il descendit en premier de l’arbre et la fit glisser jusqu’au sol. Par chance la maison ne se trouvait pas très loin de la sortie du village. Ils n’auront donc pas trop de mètre à faire a découvert. Ils s'avancèrent lentement jusqu’au bord de la maison et Taergad regarda s’il la voie était libre avant d’ordonner a Nyarèl de courir jusqu'à l’enclos des chevaux.

Elle courut comme jamais, la peur toujours au ventre, revoyant la tête de sa mère suspendue au bout de la main de cette assassin. Elle courut, aveuglée par ses larmes, jusqu'à se heurter contre la barrière de l’enclos et tombât assise par terre. Elle resta la a pleuré jusqu’à se que Taergad arrive avec Gids, le vieux faucon de chasse de Lenaig qu’il posa sur la barrière le temps de seller deux chevaux. Il sella Luie Groene, la jument de combat du forgeron d’Hertison et Uran, un jeune étalon magnifique du village. Luie Groene était une jument nerveuse, de couleur bai rouge (poile brun rouge et crinière, queue et bas de jambes noire) et Uran était un étalon de couleur alezan doré avec quatre balzanes blanche remontant jusqu’au dessus des canons. Ils grimpèrent en selle, Taergad sur Uran et Nyarèl sur Luie Groene, et partirent à tombeau ouvert en direction des montagnes sans fin.

Ils ne s’arrêtèrent qu’a la nuit tombée pour reposer leurs chevaux et se reposer eux même.

De nouveau la salle de trône, mais au lieu d’y avoir un jeune homme soumis, il y avait un homme étrange, les cheveux cramoisi, habiller d’une longue cape de voyage. Il s’emblait revenir de très loin, d’avoir voyagé pendant des heures entière. Il se tenait droit devant l’homme du trône, raide et fier. Rien à voir avec le jeune homme soumis de la dernière fois. On entendait un vague murmure comme une chute d’eau dans une grotte. Le feu derrière le trône était un peu moins actif et libérait moins de lumière. L’homme assit sur le trône se leva et regarda son interlocuteur dans les yeux.

-« Me l’as-tu ramené ? » demanda-t-il sans détour

-« Non. Elle a réussi à échapper. Mais certain de mes hommes ont repéré les traces de deux chevaux. Nous supposons que se soit elle et un autre des villageois » répondit-il d’une voix grave et grinçante. Une voix sinistre, qui reflète la mort et la douleur.

-« Alors qu’attendez vous pour les poursuivre » Ordonna-t-il.

-« les nuits sont dangereuses dans ces contrée la mon roi, mais dés le lever du soleil, mes homme se mettrons en chasse. Et dés que nous l’aurons récupérée, je viendrai vous la livrée. » Et en disant cela il se tourna dans la direction d’où Nyarèl regardait la scène.


-« HAA ! » hurla Nyarèl en se réveillant d’un bon et tremblent de tous ses membres.

Taergad se réveilla lui aussi et la regarda se levé et commencer à rouler sa couverture et a réveiller les chevaux.

-« Mais que fais tu ? » lui demanda-t-il interloqué. «Le soleil n’est même pas encore sur le point de se lever… » Ajouta-il en regardant les étoile tout en baillant.

-« Il faut se remettre en route. Plus vite on repartira mieux se sera » Ajouta-t-elle en tremblant légèrement.

-« Mais qu’est ce qui te prend. Nous avons mis une journée de cheval entre nous et le village. Personne ne voyage de nuit ici. Nous ne perdrons rien de notre avance. »

-« Non, il faut repartir maintenant, sinon on ne pourra jamais se sauver. » répliqua-t-elle tous en fourrant ses affaire dans les sacs de selle de Luie Groene et en préparent Uran.

-« ARRETE ! » hurla-t-il en lui empoignant les poignets. « Qu’est ce qui te prend. Expliques moi. Nous sommes hors de portée maintenant. Alors pourquoi se pressés ? »

Elle lui relata brièvement sa vision et son mauvais pressentiment, lui expliquent que les êtres monstrueux allaient les poursuivre durant la journée et qu’il valait mieux pour eux de repartir immédiatement s’il voulait avoir une chance d’en sortir vivant. Après cela, Taergad lui expliqua tous se que Lenaig lui avait expliqué. D’aller voir Zamir et de se fier à lui.

-« Alors partons, allons voir se Zamir. Il pourra peut-être nous dire pourquoi je vois des visions, pourquoi quelqu’un veut s’emparer de moi. » Dit-elle une fois le récit de Taergad terminer.

Ce dernier acquiesça et commença à rouler sa couverture et à préparer un rapide repas frugal avant de partir.

Ils mangèrent en silence et rapidement. Une fois leur repas terminé, ils montèrent en selle et repartirent sans tarder alors que les étoiles commençaient seulement à disparaitre lentement dans le ciel.

Ils continuèrent ainsi a une rythme soutenu durant près de deux heures, jusqu’au moment où Gids commença à s’agiter sur le bras de Taergad. Celui-ci lui enleva son capuchon et le lança vers le ciel. Gids pris directement la direction Sud-ouest, vers un coin reculer des montagnes. Tous deux le suivirent jusqu'à arriver à une grotte, immense caverne semblable a la gueule d’un vers géant. En Arrivant à proximité, Luie Groene et Uran ralentir leur allure encensant violement de la tête. Les deux jeunes gens décidèrent alors de descendre de leurs montures, de les attachés à l’abri et de continuer à pieds.

Alors qu’ils entraient dans la grotte, Gids revint vers le jeune homme et se posa sur son bras guettent une friandise quelconque pour les avoir mené a la destination. Ils avancèrent lentement s’engouffrant de plus en plus loin dans la pénombre de la grotte. Au bout d’un certain temps à marcher dans le noir, Taergad sentit Nyarèl se rapprocher de lui et glisser sa main dans la sienne. Il la prit et la serra légèrement comme pour lui dire de ne pas s’inquiété, qu’ils allaient trouver. Au bout d’un bon mile à marcher dans les ténèbres, ils virent une petite lueur apparaitre au fond du tunnel et accélérèrent le pas. Lorsqu’ils se retrouvèrent dans la lumière, ils découvrirent une sorte de maison dans le tunnel. Plus précisément, un assemblage de pièces différentes formant la maison. Assit a la table de la première pièce visible, se trouvait un homme presque minuscule, avec des bras et des jambes courte, il était assez massif dans son allure générale. Taergad, pour attirer l’attention, se racla légèrement la gorge et fit sursauté le petit homme.

-« Que faites vous ici ? Et qui êtes vous d’abord ? Comment avez-vous trouvez ce lieu ? » Demanda-t-il en se relevant brutalement de son siège.

-« Je m’appelle Taergad et voici Nyarèl. Nous venons de Hetison. Nous avons été attaqué et Lenaig nous a dit de venir vous trouvez. Que vous sauriez nous protéger et nous expliquer pourquoi nous avons été ainsi assaillis et pourquoi quelqu’un cherche à s’emparer de Nyarèl. » Lui expliqua-t-il tous en gardant cette dernière près de lui pour la protéger.

-« Lenaig… Et comment va cette charmante sorcière ? »

-« Hum… J’ai… J’ai le regret de vous annoncer… son décès. » Répondit-il légèrement gêné. « Elle est morte en me donnant ces dernière indication durant la bataille. »

-« Ho… » S’exclama le petit homme en retombant sur sa chaise. « Et vous me dites qu’elle vous a demander de venir chez moi pour vous protéger. Pour quel raison ? »

Taergad lui reporta donc la brève conversation a avait précéder la mort de la vieille femme et aussi les différente visions de Nyarèl. Et cette dernière pendant tous ce temps ne fit que regarder ses pieds, gênée d’être ainsi mis au centre de la conversation. Puis quad tous fut expliqué, le petit homme se tourna vers elle et la regarda fixement.

-« Alors comme ca tu as le don de voir dans tes rêves. » Il se gratta la barbe. « Intéressent. » En se tournant vers Taergad. « Je suis bien Zamir. Je suis un nain des terres d’Alagaesia. Et Toi… » Dit-il en montrant Nyarèl du doigt. « Toi tu as le pouvoir de voire des évènements importent dans tes rêves… des évènements qui se déroule au moment même. Je vais vous aidez. Mais il faudra me faire confiance, car se que je vais vous demandez portera a de grave décision et a de lourde conséquence. » Et en les regardant chaqu’un a son tours. « Alors qu’en dites vous ? »





Note de l’auteur :
-Luie Groene : Flemme verte en néerlandais. (Flemme parce que ce cheval est de la couleur du feu, et verte vous le saurez dans les prochain chapitre.)
-Gids : Guide en néerlandais. (Parce que se faucon sera un guide pour les deux jeunes gens tous au long de leur périple.)




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Laya

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MessageSujet: Re: Eragon, Arya, Nyarèl et Taergad. Suite du Cycle de L'héritage.   Eragon, Arya, Nyarèl et Taergad. Suite du Cycle de L'héritage. Icon_minitimeMer 19 Jan - 20:11

Chapitre 3 : Une nouvelle marche.

Quand Roran de réveilla le lendemain, un peu avant l’aube, et se leva en calçons pour aller s’habiller, il eu un mouvement de surprise en voyant Arya coucher dans le lit d’Eragon et en ne voyant pas son cousin. Et lorsqu’il voulu parler, il fut étonné de n’entendre sa voix qu’en sourdine. Paniqué, il enfila vite un pantalon et en voulant sortir de la tente pour retrouver Eragon, failli trébucher sur la tête de Saphira qui dormait à point fermé.

-« Mais qu’est ce que c’est que tous se bordel ? » Hurla-t-il lorsqu’il parvint à retrouver son équilibre. Et voyant que Saphira avait ouvert un œil il lui demanda où était Eragon.

Celle-ci, en fermant les yeux, souleva son aile pour laisser apparaître le corps presque nu du jeune dragonnier. Il était en position fœtal le dos contre le ventre de sa dragonne, le visage serein, une couverture était ra boulotté à ses pieds et lorsque la dragonne releva son aile, il frissonna et tenta de remettre une couverture imaginaire sur lui en grognant contre celui qui le retirait de la douce chaleur de son nid.

-« Brazûl ! » dit ce dernier ne sentent pas la chaleur revenir ouvra un œil en grommelant le juron. En voyant que son cousin le regardait suspicieusement, il se releva et s’emballa dans sa couverture.

-« Que fais-tu dehors à dormir comme un bébé sous l’aile de ta dragonne ? Et que fait Arya dans ton lit ? » L’interrogea directement le jeune homme.

Eragon le regarda tous d’abord sans comprendre de quoi Roran parlait, puis se souvint de la visite tardive de l’elfe, de leur discussion sur la disparition de ses maîtres et du malaise de la jeune femme. Il expliqua alors brièvement les évènements de la veille. Mais remarquant la tête de son cousin il s’arrêta bien vite lui demandant ce qu’il avait.

-« PARLE PLUS FORT JE T’ENTENDS PAS ! » hurla-t-il, risquant de réveiller tout le quartier.

Eragon le regarda avec des yeux encore plus ahuri et se souvenant du sort qu’il avait jeté à la tente et à son cousin pour qu’il n’entende la conversation de la nuit précédente, il éclata d’un rire franc et bien faisant pour tous son corps. Roran n’y comprenant rien le regarda béat, jusqu'à se qu’il a repris ses esprit et lui ai redonné l’ouïe. Quand il lui eu expliqué les faits, ils repartirent de bon cœur dans leurs fou rire.

-« Mon dieu que j’avais oublié comment c’était de rire ainsi » ajouta-t-il de bon cœur lorsqu’ils se furent calmés.

Ils rentrèrent ensuite tous deux dans la tente, Eragon toujours enveloppé de sa couverture. Voyant Arya encore assoupie dans son lit, il s’arrêta et la regarda attentivement. Elle dormait paisiblement sur son côté droit, la bouche entre ouverte laissait échapper le filet d’aire de sa respiration, un de ses bras pendait du lit et l’autre était ramené contre sa poitrine. Ses cheveux étaient étaler comme une auréole autour de sa tête, seule quelque petite mèche descendaient sur son front et pendaient devant ses yeux clos. Ainsi endormie, elle ressemblait à une petite fille. Cela faisait quelque minutes qu’il la regardait attendrit devant ce spectacle et ne vit pas Roran sourire devant son admiration.

-« Tu devrais t’habiller avant qu’elle ne se réveille et aller manger un peu. Tu as encore une sale mine de déterrer. » Lui murmura-t-il en passant près de lui, le faisant sursauter.

-« Hum… oui, bien sur. C’est ce que j’allais faire… je dois aller déjeuner avec Nasuada » Bredouilla le jeune demis elfe avant d’aller chercher ses habits et de les enfiler. Il parti ensuite avec sa dragonne en prenant soin de bien fermer la tente derrière lui pour qu’il n’y rentre pas de courant d’aire.

Il devait aller manger seul avec Nasuada et se dirigea donc vers la tente rouge vermeille de celle-ci. Devant ce trouvait, toujours fidèle a leur poste, les six soldats des faucons de la nuit qui était de garde en ce petit matin. Ils l’arrêtèrent, comme a chaque fois, et l’annoncèrent a la chef varden qui, de sa voix forte, leur dire qu’il pouvait entrer sans craindre.

Quand il fut à l’intérieur, il observa tous, de ses yeux et de son esprit. Il put s’sentir ainsi la présence d’Elva derrière le rideau et celle d’une servante qui travaillait dans la partie adjacente de la tente. Il salua son suzerain avant de s’assoir sur la chaise qu’elle lui montra après avoir répondue à son salut.

-« Comment te sens-tu aujourd’hui, Eragon ? » Lui demanda-t-elle sans détoure et en le regardant franchement dans les yeux.

-« Un peu mieux. J’ai eu une discussion hier soir avec Arya qui m’a beaucoup aidé sur ce point. » Lui répondit-il poliment tout en soutenant son regard qui c’était éclairé d’une lueur amusée et curieuse. « Mais je ne pourrai vous en dire plus, Ma Dame, pour ne pas divulguer certaine information concernent uniquement les elfes. » Mentit-il malgré lui, pour ne pas trahir les quelques secret que Arya lui avait confié concernant son passé et celui de leurs deux amis disparut.

-« Je comprend. Mangeons ! » Dit-elle quand sa servent eu placé deux assiettes bien garnie devant chacun d’eux.

Eragon contempla son plat. Il était fait de quelque tranche de lard séché, deux œufs cuit sur une pierre, quelque morceau de fromage et du pain. Devant se tenait une petite coupe de métal poli contenant de l’eau.

Discrètement, il récita l’incantation pour être sûr que sa nourriture ne contenait ni drogue, ni poison. Et satisfait du résulta, il but une gorgée et entama de bon cœur son repas. Le pain était encore chaud du matin. Les tranches de lard avait été légèrement fumé pendant leur séchage, et les œufs, légèrement assaisonner, avaient un petit gout subtile qui vous titille les papilles. Et le fromage devait être de cette région ci car c’était la première fois qu’il en gouttait un morceau pareil. Il en avait les yeux brillant de délice.

Lorsqu’il se rendit compte que Nasuada le regardait avec un regard amusé, il éclata de rire et elle le suivit imédiatement. Au bout de quelque minutes, ils se calmèrent et Eragon du se reprendre a plusieurs reprise pour ne pas s’étouffer dans sa nourriture ce qui les firent repartir de plus belle.

-« je sui d’accord sur le fait que cette nourriture est exquise, mais se n’est pas une raison pour vouloir la respirer, me semble-t-il. » Déclara-t-elle entre deux inspirations et deux éclats de rire. Ce qui relança Eragon dans son fou rire.

-« ce n’est en effet pas une raison » Répondit-il en se reprenant. « Mais je n’ai pas pus résister a l’envie de les gouter de la sorte. » Reprit-il l’œil espiègle tandis, que cette fois ci, ce fut Nasuada qui reprit son fou rire. « D’où vous viennent ces mets délicieux ? » ajouta-t-il avec un semblant de sérieux, et Nasuada le regarda pendant un instant l’air médusée par se nouveau paler qu’il avait pris, se qui le fit lui-même rire avant qu’elle ne le rejoigne.

Après encore quelque minute de bon rire, ils se reprirent et continuèrent à manger. Et pendant ce temps, une question commença à torturer l’esprit d’Eragon.

-« Quand partirons-nous vers Belatona ? » Lui demanda-t-il en ayant repris tous son sérieux. « Je suppose que tu ne m’as pas fais appeler pour déjeuner avec toi sans avoir une raison de politique militaire à discuter avec moi. »

-« Je comptais effectivement t’en parler aujourd’hui. » Lui répondit-elle en posant ses couverts sur le rebord de son plat. « J’aimerais que nous repartions sur les route d’ici deux jours. Je veux laisser mes hommes se reposer et il nous faut évidement refaire les réserve de la caravane. » Et en le regardant droit dans les yeux, elle reprit d’une voix ferme. « Et je voudrais que Arya, quelque elfes de ta garde et toi-même, reprennent les routes dés aujourd’hui, afin d’aller repérer les alentours de la prochaine cible. »

-« Et qu’en sera-t-il de Saphira ? »

-« C’est à elle de décider, même si je préfèrerais qu’elle reste avec nous, de manière a ce que vous passiez plus inaperçus. » Quêtant une réaction quelconque chez son compagnon de table.

-« Je m’entretiendrai avec lorsqu’elle sera revenu de la chasse » Lui répondit-il en faisant un léger signe de tête.

- « maintenant que tu es en meilleur état mental, j’aimerais que tu me raconte comment c’est déroulé le couronnement de notre ami Orik, et ce qu’il s’est passé dans la citée des elfes. » Lui demanda-t-elle sans détour. « Si tu es d’accord, bien sûr. » Se reprit-elle pour ne pas le forcer.

Il respira profondément et lui raconta dans les moindres détails tous les évènements depuis le couronnement du nouveau roi des nain, jusqu’au forgement de sa nouvelle épée.

Lorsqu’il eu terminé sont récit et répondu au quelque question qu’elle lui posa par la suite, il prit congé afin de retourner a sa tente. Le soleil n’était pas encore très haut dans le ciel. Il devait tout au plus entre deux heures l’aube. En retournant dans la direction de sa tente, il passa devant celle des provisions et décida de prendre quelque vivre avec lui, au cas où Arya dormirait toujours. Et en se retrouvant devant l’entré de son refuge, il sut qu’il avait bien fait. Les deux rabat qui la fermaient, étaient encore placer comme il les avait mis en refermant sa tente quand il était parti ce matin la.

En entrant, il vit qu’elle s’était tournée vers la toile de la tente et dormait toujours. Lentement, il alla débarrasser un petit tabouret et la petite table basse et y installa les différents aliments qu’il avait apportés. Il commença à chauffer délicatement le petit coin de viande qu’il avait réussi à trouver, et coupa la pomme et la poire en morceau facile à mâcher. Quand tous fut près, il se dirigea vers le lit qu’occupait Arya et s’accroupit devant.

-« Arya Svit-Kona, le soleil est lever et le coq à chanter depuis plus de deux heure » Dit-il d’une voix basse pour ne pas la brusquer.

-« Mmm… non… laisse moi dormir… encore un peu. » Marmonna-t-elle dans son sommeille.

-« Arya, je dois te parler d’une mission que Nasuada nous a confié... » Rétorqua-t-il.

-« Que vient faire la chef varden ici dans la foret des elfes ? »

-« La foret des elfe ? » La prenant par les épaules, il l’obligea à se tourner vers lui, ce qui lui fit ouvrir les yeux.

-« HA ! » Hurla-t-elle suprise de voir Eragon près d’elle et recula sur le lit. « Mais que fais-tu dans ma chambre Eragon ? »

-« Ta chambre ? Arya tu es dans ma tente. Tu t’es endormie hier soir sur mon lit » Et voyant qu’elle le regardait avec des yeux ahuri, il lui rappela rapidement qu’elle était venue lui parler

-« Je me rappel… » Répondit-elle confuse en se rappelant les fait de la veille. « Eragon, je suis désolé de t’avoir empêché de dormir dans ton lit. »

-« Ne t’inquiète pas, si tu pense m’avoir empêché de dormir confortablement, tu te trompe. Et tu peux le demander à Roran. » Déclara-t-il, une lueur amusée dans son regard. « Le flanc de Saphira pour bien remplacer mon lit a la longue. » Déclara-t-il.

-« Si tu avais vu dans qu’elle position il était et sa réaction lorsque sa dragonne à relever l’aile qui le protégeais… » Déclara la voix de Roran qui était arrivé entre temps. Faisant sursauter Eragon et éclater de rire Arya. Son rire était léger, cristallin. Semblable à une source coulant sur la roche.

Eragon se leva en grognant et commença à rassembler ses affaires de voyage.

-« Nasuada veut que nous partions le plus vite possible en éclaireur vers Belatona. » Grommela-t-il tandis que la jeune femme se levait et attrapait quelque morceau de fruit.

-« Qui « nous » ? » demanda Roran perplexe.

-« Arya, quelque elfe et moi-même » Répondit le dragonnier.

-« Et Saphira ? Elle vient avec nous ? » Demanda rapidement Arya perplexe.

-« Nasuada dit que c’est à elle de choisir, mais elle préfèrerait qu’elle reste ici pour nous permettre de nous déplacer plus discrètement. »

Sur ses mots il sortit d’un pas rapide et se dirigeas vers les tentes réservée aux elfes. Arrivé a proximité, il appela Lupusänghren et lui demanda de choisir parmi ses compagnons, les cinq d’entre eux qui l’accompagneraient jusqu'à la prochaine citée, et il parti mentalement a la recherche de Saphira. Il la repéra non loin derrière les fortifications de Feinster et décida donc d’aller la rejoindre.

Il couru tranquillement a travers les rues de la cité, jusqu'à arriver au porte de celle-ci. Les garde les lui ouvrir sans même poser de question et il fila a toute vitesse jusqu’au lieu où Saphira engloutissait une biche. Il s’assit devant elle et attendit qu’elle ai terminé son repas pour lui proposer de faire un vole ensemble.

Tandis qu’il était bien installé sur le dos de sa dragonne, il lui exposa brièvement le plant de leur suzeraine.

« Que comptes-tu faire, ma belle ? » l’interrogea-t-il légèrement inquiet de sa prochaine réponse.

« Je pense qu’elle a raison. Si je vous accompagne, des gens risquent de me voir, il y aura des traces, et je ne ferai que vous ralentir dans votre progression. » Sondant le cœur et les émotions de son petit homme. « Je sais que tu n’as pas envie que l’on se sépare. Moi non plus. Nous nous sommes retrouvé il n’y a pas si longtemps. Mais c’est séparer que l’on peut le mieux aider Nasuada dans sa tache. Et ce n’est pas en restant ensemble que nous parviendront à évoluer pour être plus fort. »

« Même si je n’approuve pas ta décision, je l’accepte et je la respecte. Je compte partir ce soir, pour que les varden ne remarquent pas tout de suite notre absence. Nasuada ne compte pas faire de subterfuge comme la dernière fois, Arya nous accompagnera donc. » Expliqua-t-il. « Tu me manqueras ma belle, je t’aime. » reprit-il dans un murmure de pensée en se serrent encore plus fort contre ses écailles bleue tandis qu’ils planaient au dessus des plaine.

« Toi aussi tu me manqueras petit homme. » pensa la belle demoiselle de saphir, la voix vibrante d’émotion.

Après près d’une heure de vol, ils revinrent vers le petit campement se posèrent près de la tente du jeune homme. Celui-ci alla directement chez Nasuada pour lui annoncer la décision de sa dragonne et sa décision de partir le soir même avec ses compagnons. Il alla ensuite chercher, dans un enclos aménagé, huit chevaux. Un cheval pour chacun des membres de l’équipée, et un cheval qu’ils utiliseront comme cheval de bat.

En retournant vers sa tente, où il avait entassé une réserve suffisante de provisions et instrument utile pour leur voyage, il croisa Elva et Angela, qui se disputaient. Il les salua de la tête et continua à diriger lentement les montures a travers les couloire des tentes.

Lorsqu’il furent attacher non loin des affaires préparée, il alla prévenir les elfe qu’il partaient d’ici une heure, le temps qu’il se préparent et que la lumière commence a décliner.

En rangeant ses quelques effets personnels, il retrouva le rouleau qu’Oromis lui avait fait avec son récit en ancien langage qu’il avait écrit pour la célébration du sang et le faith que Brom avait fait de sa mère. Il relut deux fois son parchemin, cherchant à comprendre pourquoi ils avaient disparut. Il se remémora toutes ces heures passée à s’entrainer, à méditer, regrettant les un comme les autres. En examinant le portrait, il se dit que sa mère était vraiment magnifique. Il aurait voulut pouvoir la connaitre, pouvoir au moins avoir vécu quelque année a ses côté. Sentent une larme de nostalgie coulé le long de sa joue, il les rangea soigneusement dans son sac, attrapa son épée et l’accrocha a sa ceinture. Il sortit de sa tente, attacha ses sac à la selle de sa jument isabelle et partit a la recherche de son cousin afin de le saluer.

Il le trouva dans la maison chez qui Angela logeait. Il voulait qu’elle lui permette de parler un petit peu avec Katrina qui était retournée vers Dauth afin de terminer sa grossesse en toute sécurité. Il lui dit rapidement au revoir profitant par la même occasion de saluer la petite sorcière et le chat garou Solemboum.

La lumière commençait à décliner, il était temps pour lui de retourner vers les chevaux et de partir avec ses compagnons sur la route menant à Belatona. Ils se mirent tous en selle, après avoir attacher leur affaire derrière leur siège. Quand tus fut prêt, Eragon glissa une dernière pensée d’au revoir à sa dragonne et coupa le lien qui les unissaient.

Ils se couvrirent tous d’une cape doublée de mouton et partirent au pas, visage caché par la capuche, vers la sortie de la ville. Ils empruntèrent un chemin au travers de la pleine qui entourait les murailles de la cité et se dirigèrent vers le Nord-est afin de rejoindre le chemin qui longeait la rivière Jiet.

Dans le sac de selle gauche, Eragon senti le battement du cœur des cœurs de Gleadr. Il glissa sa main dedans et toucha l’Eldunarí qui lui procura un certain apaisement et qui se consola lui-même grâce a se toucher.

Pendant qu’ils chevauchaient vers la rivière, Arya vint placer son cheval a côté de celui d’Eragon et ils discutèrent ensemble des projets de Nasuada. Elle contait assiéger Belatona et une foi celle-ci tombée, elle se dirigerait vers Dras-Leona pour lui faire subir le même sort. Ensuite elle tenterait le tous pout le tous et dirigerait ses troupe vers Urû Baen pour soit y vaincre le roi félon, soit y anéantir ses troupe et ruiner l’infime chance de tous les peuple d’être enfin libre. Elle comptait aussi énormément sur la reine des elfes, Islanzadí, qui venait de remporter, malgré la mort de ses deux combattant Oromis et Gleadr, la bataille de Ceunon et comptait remettre en marche ses troupe vers Gil’ead et ensuite rejoindre la chef varden au château du roi.

Au bout de trois heure de chevauchée, ils arrêtèrent leur montures et installèrent le campement pour une petite nuit de sommeille.

Après avoir mangé, Eragon pris sa couverture, et posa sa tête sur sa selle pour se faire un oreiller. A peine eu-t-il fait se mouvement que ses yeux se fermèrent et qu’il plongea dans sa transe.
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