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 L'histoire d'une vie.

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Laya

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Age : 31
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Emploi/loisirs : équitation, volley, gym, natation, écrire, lire et encore plein d'autre
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MessageSujet: L'histoire d'une vie.   L'histoire d'une vie. Icon_minitimeMer 19 Jan - 20:15

Bonjours a tous (ou bonsoir suivant l'heure qu'il est.)

Alors voila. Ceci n'est pas une fiction sur un livre ou un film ou encore une BD. Non, c'est même tous le contraire. Il y a quelque année quand je suis arrivé dans mon village, il y avait un élevage de chevaux. Cela fait maintenant treize année que j'y habite et que je vois ces animaux grandir. Et puis il y a quelque mois, le propriétaire les a tous vendu a un abatoire. Nous avons réussi a sauver la dernière poulinière du troupeau. J'ai été très touchée d'apprendre leur départ, alors je leur écrit une dédicasse, que, si elle oobtien de bon retoure, je tenterai d'envoyer à une édition pour voir si elle les intéresse. Peut-être qu'un jour elle paraitra dans les librairie et les bibliothèque, qui sait.
Il y a évidement encore quelque petite chose à amélirer par-ci par-là.

Je vous souhaite une bonne lecture, n'hésitez pas a laisser des commentaire.

Remerciement: je remercie Daiya, qui à eu la patience de corriger mes belle fautes d'orthographe ( et qui l'a toujours).
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Laya

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MessageSujet: Re: L'histoire d'une vie.   L'histoire d'une vie. Icon_minitimeMer 19 Jan - 20:15

Chapitre 1 : Le début d’une vie.

La vue était superbe. Elle donnait sur de belles collines boisées. C’était l’hiver. Les arbres étaient blanc givré, parmi ceux-ci se trouvait des conifères, qui donnait une couleur verte à ce monde blanc, gris et brun.

Sur cette colline, une jeune femme de vingt-six ans avançait vers une prairie. Elle faisait environ un mètre soixante-dix, son corps était fin mais athlétique. Et pour cause, depuis l’âge de cinq ans, elle pratiquait plusieurs sports. Aujourd’hui elle était habillée avec un vieux jean sale, de grosses bottines de travail et une veste se refermant autour de sa taille. A son bras se tenait une dame plus âgée de soixante-six ans, sa mère.

Toutes deux se dirigeaient vers la clôture. Dans la prairie se trouvait une vieille jument de vingt-et-un ans. Très sèche dans son allure, on pouvait deviner qu’il s’agissait d’un cheval de sang. Et pour cause, c’était une jument croisée pur sang belge et trotteur français. Elle était assez grande, un bassin très mobile par rapport au reste du corps, ses jambes sont droites et fines, sauf une qui est plus épaisse, dûe a une vilaine cicatrice au nivaux de son jarret et au suros qui se sont développés par la suite. Son poil de couleur charbon, était long et collant. Son allure était encore fière malgré qu’elle se tenait tête basse et l’œil inexpressif. On pouvait voir, sans être expert, qu’elle n’était pas en bonne santé.

Les deux femmes venaient de rentrer dans l’enclos et la jument, ayant sentit dans l’air leur odeur, laissa échapper de petits bruits sourds pour leur souhaiter la bienvenue. Doucement la plus jeune femme s’approcha en lui parlant à voix basse et calmement. Les fines oreilles de l’équidé s’agitèrent légèrement reconnaissant cette voix si lointaine dans sa mémoire. Sentant une main se poser doucement sur son encolure, la vieille jument se crispa légèrement avant de reconnaitre se contact qui l’avait si souvent rassuré et se détendit immédiatement. Lentement la main fit de petits massages circulaires sur la base du cou pour remonter vers la tête et arriver au chanfrein. Immédiatement, l’équidé ferma les yeux et poussa un profond soupir de bien être.

-« Tu peux venir maman, elle est bien. Elle ne fera rien. » Dit-la jeune femme d’une voix posée sans hausser le ton pour se faire entendre.

-« Tu es sûr Lucie ? » Lui répondit l’intéressée en restant à l’ écart.

-« Oui, Alisianne est calme, elle ne se défendra pas. »

A ces mots, sa mère se mit, à petits pas prudents dans la neige, à avancer jusqu'à se mettre à ses côtés, légèrement tendue. Lentement, elle prit sa main et la posa doucement à la place où elle avait elle-même posé la sienne au début et lui fit faire le même mouvement circulaire en remontant lentement vers la tête. Calmement elle se déporta vers la gauche afin de se mettre devant la petite jument et laissant sa mère détendre chacun des muscles de cette dernière qui poussa de nouveau un profond soupir d’aise, laissant dans l’air une volute de buée sortant de ses naseaux. Ployant une jambe, elle se coucha dans le foin étalé dans la neige.

Lucie s’assit derrière sa nuque, pris sa tête entre ses bras et la posa sur ses genoux lui caressant tendrement la tête, en partant des oreilles, laissant courir ses mains jusqu’à descendre sur ses naseaux légèrement dilatés dans le froid. Regardant son grand œil voilé par la cataracte elle plongea dans ses souvenirs et les souvenirs de cette brave bête. Lentement elle put lire tout le chemin qu’elle avait parcouru.

« Je me souvient du jour où je suis née. C’était une superbe journée de printemps. Je me souviens de la lumière remplaçant la nuit de la matrice de ma mère. Je me souviens de cette fierté qui s’était emparée de moi lorsque j’avais réussi à me lever pour prendre la première tétée, ce liquide chaud qui coulait dans ma gorge et me réchauffait de l’intérieur, me donnait la force de combattre. J’étais fière et je suis encore fière d’être la fille d’une jument de gendarmerie, d’être la fille du célèbre trotteur de course Hidalgo. Les odeurs que j'humais étaient fortes et délicieuses, j’étais curieuse de renifler chaque objet, chaque personne que je croisais. Pour chaque chose, j’enregistrais leur odeur, et leur sensation au toucher.

Le premier être humain que je croisais, fut le propriétaire de Cali, une jument âgée d’environ vingt-quatre ans, et son père. Olivier Ladrière voila le nom de la personne à qui Cali était si fidèle.

Et puis je t’ai vu toi, Lucie, et ta chère mère à qui je me suis vite attachée. Tu avais à peine quatre ans. Tu étais toute petite, avec de longs cheveux blonds formant de fines boucles autour de ta tête. Tu gambadais partout, à la recherche de nouvelles choses à découvrir. Et comme moi tu testais chaque chose avec chacun de tes sens.

Après à peine deux jours, je partais déjà à l’aventure. Allant taquiner notre bonne vieille Cali qui se prenait au jeu et faisait avec moi quelques courses au travers de notre prairie. Elle était grande Cali. Je la voyais trois fois plus grande que moi. Et blanche. Son poil était d’un beau blanc crème avec une crinière soyeuse.

Après quelque mois, j’avais grandi, je me sentais grande. J’avais l’impression d’être immense. Et quand Olivier et son père venait nous changer de prairie, je m’amusais à courir en tous sens, à m’échapper de leur emprise et à partir à la conquête du monde ; sans jamais trop m’éloigner de ma gentille maman. Évidement, tu vas me dire que la distance n’était pas grande. Je m’en rends compte maintenant. Mais pour moi à cet âge la, ça représentait des kilomètres de distance entre elle et moi.

Et puis le printemps fit place à l’été. Avec sa chaleur, ses sécheresses. C’était très dur, pour moi petite pouliche âgée de seulement quatre mois. Il n’y avait pas beaucoup de buissons dans notre prairie, l’herbe se faisait moins riche et le lait de ma mère moins revigorant. Et puis il y avait ce fléau ailé que vous appeler les mouches et les taons. Ils nous piquaient, nous chatouillaient, agaçaient nos oreilles avec leur incessant bourdonnement. Ma queue était encore trop courte pour pouvoir me protéger de ces horribles bestioles. Alors je passais mon temps, le nez derrière la croupe de ma mère afin qu’elle les chasse avec sa magnifique queue de soie. La pire chose des canicules fut que je ne pouvais courir autant que je le voulais. Que je pouvais me défouler et faire tricoter mes petites jambes de pur sang.

Plus le temps de l’été passait, plus je devenais infernale pour ma mère qui me remballais dès que je dépassais une limite de plus en plus stricte. Finalement les chaleurs diminuèrent et me permirent très vite de recommencer à batifoler comme un moineau dans les branches.

Très vite le temps changea en s’améliorant. On passa de l’été à l’automne. Une bénédiction pour nous. Les herbes recommençaient à redevenir plus riches, la chaleur baissait, les mouches disparaissaient.

Mais très vite la température chuta. C’est ce moment-là que je vis Olivier revenir et nous ramener vers ma prairie natale. J’étais heureuse. J’allais pouvoir retrouver mes cachettes, mes premières découvertes. Et là, au lieu d’entrer dans la prairie, je les vis tous se diriger vers des bâtiments et descendre une rampe. Moi, je m’arrêtai, complètement déboussolée, et quand je vis que ma mère disparaissait, je me mis à courir le plus vite que mes jambes pouvaient le faire. Je descendis la rampe, et pris le tournant en dépassant ma mère et en caracolant contente de cette course, et puis je glissais et là ce fut horrible, une douleur atroce parcourut toute ma jambe postérieure gauche, du canon jusqu’au dessus de mon jarret. Et plus je m’agitais, plus la douleur devenait intolérable. Et je sentis un liquide chaud couler, ce qui me fit encore plus paniquer. Finalement, je sentis des mains fermes se saisir de mes antérieurs et me tirais vers l’arrière me faisant encore plus mal. Mais une fois qu’ils m’aient tirée, la douleur se fit décroissante et me permis de reprendre un peu mes esprits. Je venais de glisser dans la petite allée, et ma jambe était passée sous le bas de la porte en métal de l’étable. Ma jambe était presque complètement râpée jusqu'à l’os. Elle me faisait souffrir et je n’arrivais plus à me tenir dessus.

Après je ne sais combien de temps d’attente dans cette souffrance, un homme qui m’était inconnu vint me voir. Olivier et son père m’avait porté jusqu’au box qui se trouvait dans la partie supérieure du bâtiment. J’étais couchée dans une paille fraiche et confortable. Lorsque cet homme me toucha, je sentis directement comme une vague apaisante me transpercer. Puis je sentis qu’il me tapait l’encolure et après, toutes sensations dans celle-ci disparaissaient. Je ne sentis même pas lorsqu’il enfonça une aiguille dans ma peau pour me prendre un peu de ce liquide rouge qui tu appelles sang et m’injecter un produit qui me fit partir dans les vapes pendants plusieurs heures.

Quand je me réveillais, je sentis directement que ma jambe ne me faisait plus aussi mal. Et quand je voulus la bouger, je me rendis compte, qu’elle était piégée a l’intérieur d’une sorte de toile. En la regardant, je vis un bandage serré tout autour et qui soulageait ma jambe. Je parvins à me remettre tant bien que mal sur mes quatre jambes et alla rechercher réconfort auprès de ma mère et de son délicieux lait chaud.

Les mois se suivirent ensuite, pareils les uns aux autres. Olivier et son père venaient nous rendre visite tous les jours afin de soigner ma plaie qui avait du mal à cicatriser et nourrir ma mère et Cali. »

La jument coupa le contact visuel et laissa échapper un petit râle de douleur. Ses jambes étaient agitées de petits spasmes et son corps se mit à frissonner. Lucie continua à lui parler le plus calmement possible, parvenant à ne pas laisser paraître son inquiétude dans sa voix. Sa mère s’était levée pour aller chercher une deuxième couverture pour sa pauvre compagne et la lui étala sur tout le corps, la recouvrant du haut de l’encolure jusqu’à la pointe de chacun de se sabots.

-« Elle souffre encore. Tu ne crois pas que nous devrions lui réinjecter une dose pour la soulager ? » Demanda-t-elle à sa fille, la voix tremblante par l’émotion.

-« Non, ça ne pourra pas l’aider. Ce qui la fait trembler de la sorte n’est pas une douleur physique. C’est tout autre. Mais je ne saurais te l’expliquer avec des mots. »
Sans plus un mot, elles continuèrent à masser chaque muscles tendus de la petite jument afin de l’aider à se détendre et à se calmer.
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